La silhouette masculine reste très sobre, très sombre et mince comme tout au long du XIXe siècle.
Mais pourquoi je vous parle de tous cela? Pour en arriver aux chapeaux...
A l'époque, il était très mal vu de sortir tête nue ou en cheveux, chose que seules les femmes du peuple faisaient ; les femmes aisées et mêmes les plus simples bourgeoises ne se montraient jamais dans la rue sans porter un chapeau, accessoire essentiel.
La Belle Epoque a donné lieu aux constructions chapelières les plus extraordinaires, chargées de plume, de faux fruits et de fleurs, rappelant dans un autre genre les extravagantes constructions capillaires des femmes de la cour au milieu du XVIIIe siècle.De façon intéressante, c'est vers 1910, lorsque la silhouette générale se simplifie et s'amincit, que les chapeaux deviennent les plus larges et imposants.
Mais pourquoi je vous parle de tous cela? Pour en arriver aux chapeaux...
A l'époque, il était très mal vu de sortir tête nue ou en cheveux, chose que seules les femmes du peuple faisaient ; les femmes aisées et mêmes les plus simples bourgeoises ne se montraient jamais dans la rue sans porter un chapeau, accessoire essentiel.
La Belle Epoque a donné lieu aux constructions chapelières les plus extraordinaires, chargées de plume, de faux fruits et de fleurs, rappelant dans un autre genre les extravagantes constructions capillaires des femmes de la cour au milieu du XVIIIe siècle.De façon intéressante, c'est vers 1910, lorsque la silhouette générale se simplifie et s'amincit, que les chapeaux deviennent les plus larges et imposants.
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