mardi 11 octobre 2011
Choix du thème
"La gourmandise", car est un thème qui m'attire depuis des années...
.
La gourmandise est un désir d'aliments jugés particulièrement agréables, certaines doctrines religieuses peuvent considérer comme un défaut ou une faute. Dans la religion chrétienne, la gourmandise, c'est à dire au sens moderne de la gloutonnerie, est un des sept péchés capitaux.
Au XIXe siècle, des Français établissent une distinction entre gourmandise et goinfrerie, considérant la première comme une qualité, la seconde comme un défaut.
La gourmandise se distingue de la boulimie en ce qu'elle est associée au plaisir suscité par la consommation des aliments et n'est pas pathologique.
La mode en 1900
La mode en 1900, se caractérise, dans la silhouette féminine, par un goût pour les lignes souples, les courbes, les volutes et les dentelles, dans l'esprit de l'Art Nouveau.
La silhouette masculine reste très sobre, très sombre et mince comme tout au long du XIXe siècle.
Mais pourquoi je vous parle de tous cela? Pour en arriver aux chapeaux...
A l'époque, il était très mal vu de sortir tête nue ou en cheveux, chose que seules les femmes du peuple faisaient ; les femmes aisées et mêmes les plus simples bourgeoises ne se montraient jamais dans la rue sans porter un chapeau, accessoire essentiel.
La Belle Epoque a donné lieu aux constructions chapelières les plus extraordinaires, chargées de plume, de faux fruits et de fleurs, rappelant dans un autre genre les extravagantes constructions capillaires des femmes de la cour au milieu du XVIIIe siècle.De façon intéressante, c'est vers 1910, lorsque la silhouette générale se simplifie et s'amincit, que les chapeaux deviennent les plus larges et imposants.
Mais pourquoi je vous parle de tous cela? Pour en arriver aux chapeaux...
A l'époque, il était très mal vu de sortir tête nue ou en cheveux, chose que seules les femmes du peuple faisaient ; les femmes aisées et mêmes les plus simples bourgeoises ne se montraient jamais dans la rue sans porter un chapeau, accessoire essentiel.
La Belle Epoque a donné lieu aux constructions chapelières les plus extraordinaires, chargées de plume, de faux fruits et de fleurs, rappelant dans un autre genre les extravagantes constructions capillaires des femmes de la cour au milieu du XVIIIe siècle.De façon intéressante, c'est vers 1910, lorsque la silhouette générale se simplifie et s'amincit, que les chapeaux deviennent les plus larges et imposants.
L'élégance en 1900,
Chaque époque a eu sa vision idéale de la beauté féminine. Le moyen-âge aimait les formes menues, le XVIIe siècle les préférait opulentes, la Directoire longilignes...
En 1900, la taille de guêpe est obligatoire et le corset vient opportunément au secours des trop rondes, donnant à les femmes un maintien raide et terriblement apprêté. Les manches "gigot" présentent une ampleur ressée au poignet ; les gants longs sont de rigueur dans la rue et au spectacle. A table et au bal, les bras nus des élégantes se parent de lourds bracelets.
Retour à la belle époque
Partons pour la belle époque 1900-1914,
Le XXe Siècle commence dans le tourbillon de valse et de richesse, dans l'auphorie du progrès.
Qu'il faisait bon alors vivre à Paris! Les premières lignes de Métro, où l'on pénétrait par ces souples arcatures de fer créées par Guimard, y rendaient la circulation aisée. Passy, Auteuil et Neuilly, qui commençaient à devenir les quartiers élégants de la nouvelle bourgeoisie, conservaient encore quelque chose des anciens v
ilages qu'il étaient cent ans plus tôt.
Cette bourgeoisie cossue se regarde vivre et évoluer avec évidente satisfaction. L'homme du monde dîne en habit, la femme élégante se rend aux courses hippiques en robe de dentelle, et personne ne tolère le plus insignifiant manquement aux "bonnes manières".
La mode est dominée par les belles excentriques : demi-mondaines comme Caroline Otéro et Liane de Pougy, actrices comme Réjane et Sarah Bernhardt... Que les petites bourgeoises s'efforcent d'imiter dans les costumes et leurs manières.
Le plus grand des grands couturiers, c'est Worth et ses toilette somptueuses. Doucet habille Réjane, Madame Praquin, la première, a l'idée d'envoyer ses mannequins aux courses, Redfern, londonien établi à Paris, lance le costume tailleur, inspiré du vêtement masculin. Le génial Poiret, enfin, débarrasse la femme de ses poufs er de ses corsets pour lui donner cette élégence longue et fluide qui ouvre la voie à la mode de l'après-guerre.
Caroline Otéro : une chanteuse et danseuse de cabaret.
Liane de Pougy : Danseuse et courtisane .
Réjane : Comédienne
Sarah Bernhardt : Comédienne
Charles Worth : couturier
Création de Charles Worth
Puis le grand Paul Poiret :
Création de Paul Poiret :
Le XXe Siècle commence dans le tourbillon de valse et de richesse, dans l'auphorie du progrès.
Qu'il faisait bon alors vivre à Paris! Les premières lignes de Métro, où l'on pénétrait par ces souples arcatures de fer créées par Guimard, y rendaient la circulation aisée. Passy, Auteuil et Neuilly, qui commençaient à devenir les quartiers élégants de la nouvelle bourgeoisie, conservaient encore quelque chose des anciens v
ilages qu'il étaient cent ans plus tôt.
Cette bourgeoisie cossue se regarde vivre et évoluer avec évidente satisfaction. L'homme du monde dîne en habit, la femme élégante se rend aux courses hippiques en robe de dentelle, et personne ne tolère le plus insignifiant manquement aux "bonnes manières".
La mode est dominée par les belles excentriques : demi-mondaines comme Caroline Otéro et Liane de Pougy, actrices comme Réjane et Sarah Bernhardt... Que les petites bourgeoises s'efforcent d'imiter dans les costumes et leurs manières.
Le plus grand des grands couturiers, c'est Worth et ses toilette somptueuses. Doucet habille Réjane, Madame Praquin, la première, a l'idée d'envoyer ses mannequins aux courses, Redfern, londonien établi à Paris, lance le costume tailleur, inspiré du vêtement masculin. Le génial Poiret, enfin, débarrasse la femme de ses poufs er de ses corsets pour lui donner cette élégence longue et fluide qui ouvre la voie à la mode de l'après-guerre.
Caroline Otéro : une chanteuse et danseuse de cabaret.
Liane de Pougy : Danseuse et courtisane .
Réjane : Comédienne
Sarah Bernhardt : Comédienne
Charles Worth : couturier
Création de Charles Worth
Puis le grand Paul Poiret :
Création de Paul Poiret :
Cette année!!!C' est la bonne =)
Dsl pour cette longue absence, je vous promets de le remettre à jours très prochainement.
Tout d'abord la bonne nouvelle de l'année . =)
Je lance ma marque de vêtement et d'accessoire de mode cette année.
Ce blog sera mon journal de bord.
Bonne lecture a tous, nouvel article "costume" dans la soirée, sous le thème de la "gourmandise".
Tout d'abord la bonne nouvelle de l'année . =)
Je lance ma marque de vêtement et d'accessoire de mode cette année.
Ce blog sera mon journal de bord.
Bonne lecture a tous, nouvel article "costume" dans la soirée, sous le thème de la "gourmandise".
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