On ne peut pas passer la belle Epoque, sans " L'Art Nouveau", sans faire un article sur Alphonse Mucha, né en Bohême en 1860, établi à Paris en 1890, devient le peintre, non de la Parisienne sophistiquée, mais de la femme " telle qu'en elle-même". Cette créature idéale, cette incarnation de la femme-femme, il la découvrit en Sarah Bernhardt qui fut son inspiration préférée. Il dessina pour elle ses affiches, ses menus; ses toilettes et même certains de ses bijoux, sur scène, il se plaît à la vêtir de défroques somptueuses er de parures magnifiques.
Ses affiches sont aujourd'hui parmi les plus recherchées des collectionneurs.
Mucha, peintre de la Femme,
Nul mieux que Mucha se sut exalter la grace déliée et pulpeuse de ces femmes fleurs de la Belle Epoque, telle que les voyaient les artistes de l'Art Nouveau. Une nouveau romantisme plaide pour le retour au naturel et fait éclore dans les chevelures aux longues boucles éparses de ces nymphes non chalantes, des guirlandes de branches et de fleurs.
Peintre de la femme, Mucha dessina des bijoux pour parer les belles : richesse de forme, lignes admirables, harmonie large et pleine, ces pièces devenues rares sont aujourd'hui très recherchées.
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